Démocratie de la peur…

Notre public en parle : De nouveau, Oscar Castro nous invite à entrer dans l’univers de José Miranda, ce révolutionnaire qui veut changer le monde contre vents et marées pour le rendre plus humain. Au programme : utopies, sensibilité, profondeur, humour déjanté. Une compagnie professionnelle qui ne se prend pas au sérieux et une ambiance impossible à retrouver ailleurs qu’au théâtre Aleph. Un pur moment de plaisir. Bénédicte de Smet, Bruxelles. Le Théâtre Aleph nous offre généralement des spectacles poético-philosophiques toujours gracieux, originaux, remplis d’humour et de fantaisie. "La démocratie de la peur" reste sur ce chemin. Cette pièce m’a enchantée pour son ingéniosité, sa précision et la subtilité de son message. Dans cette œuvre nous croisons le chemin des trois rois mages, trois explorateurs du 21° siècle qui cherchent les méchants et s’interrogent sur les notions de Bien et de Mal. On rencontre aussi Dieu et le Diable, amis inséparables qui prétendent diriger ensemble le monde et les consciences. On comprend alors qu’il n’y a pas de Dieu sans Diable, l’un ne va pas sans l’autre. Les Dix Commandements revisités par José Miranda, non seulement sont hilarants, mais ils nous interpellent aussi sur notre libre arbitre et sur le fait que nous sommes gouvernés par la peur (de la maladie, de penser, etc). Quant à José Miranda, dramaturge, Alter Ego d’Oscar Castro, il dialogue avec sa conscience, incarnée par une femme, pour rendre le monde meilleur et, à cette fin, il cherche à rencontrer Don Quichotte, ce génial chevalier du XVI siècle qui voulait défendre les pauvres, lutter pour la justice et un idéal humaniste. Finalement ce sera sa Conscience qui l’aidera à comprendre la vanité de sa quête, à ouvrir les yeux sur la nature humaine et l’accepter telle quelle sans amertume. Oscar/José nous invite à continuer à penser le monde sans désillusion et avec optimisme. C’est ce qui me bouleverse et m’enchante à la fois. "La Démocratie de la peur" est une pièce antireligieuse, anticapitaliste, anti-bêtise, profondément humaine et finalement esthétique. Le décor, les costumes, les lumières, les effets et le jeu des comédiens sont un véritable régal pour les spectateurs. Merci à Oscar et toute la troupe ! Sylvie Bringant, professeur d’espagnol, Paris 12ème Pièce écrite et mise en scène par Oscar Castro - Musique Jean-Jacques Lemêtre Chorégraphie Sylvie Miqueu - Scénographie Bénédicte d’Albas Lumières et Vidéos Samuel Lardillier et Oscarito Castro - Costumes Corine Jouvin Son Natacha Moyersoen et Jules Archinova - Conception des oiseaux Catherine Sorba Avec Oscar Castro, Tom Courrèges, Ethan Creuzevault, Elisabeth De Andreis, Hiba Elkheloui, François Essindi, Catherine Max Martineau, Oualid Meddah, Sylvie Miqueu, Meriele Miranda, Natacha Moyersoen, Thibaud Sobel, Catherine Sorba. TARIFS - TP : 15 € / TR (Ivryiens) : 12€ / TR (chômeurs, étudiants) : 10 € / Gratuit les - de 14 ans

Mise en scene de Oscat Castro…

Notre public en parle :

De nouveau, Oscar Castro nous invite à entrer dans l’univers de José Miranda, ce révolutionnaire qui veut changer le monde contre vents et marées pour le rendre plus humain. Au programme : utopies, sensibilité, profondeur, humour déjanté. Une compagnie professionnelle qui ne se prend pas au sérieux et une ambiance impossible à retrouver ailleurs qu’au théâtre Aleph. Un pur moment de plaisir. Bénédicte de Smet, Bruxelles.

Le Théâtre Aleph nous offre généralement des spectacles poético-philosophiques toujours gracieux, originaux, remplis d’humour et de fantaisie. « La démocratie de la peur » reste sur ce chemin. Cette pièce m’a enchantée pour son ingéniosité, sa précision et la subtilité de son message. Dans cette œuvre nous croisons le chemin des trois rois mages, trois explorateurs du 21° siècle qui cherchent les méchants et s’interrogent sur les notions de Bien et de Mal. On rencontre aussi Dieu et le Diable, amis inséparables qui prétendent diriger ensemble le monde et les consciences. On comprend alors qu’il n’y a pas de Dieu sans Diable, l’un ne va pas sans l’autre. Les Dix Commandements revisités par José Miranda, non seulement sont hilarants, mais ils nous interpellent aussi sur notre libre arbitre et sur le fait que nous sommes gouvernés par la peur (de la maladie, de penser, etc). Quant à José Miranda, dramaturge, Alter Ego d’Oscar Castro, il dialogue avec sa conscience, incarnée par une femme, pour rendre le monde meilleur et, à cette fin, il cherche à rencontrer Don Quichotte, ce génial chevalier du XVI siècle qui voulait défendre les pauvres, lutter pour la justice et un idéal humaniste. Finalement ce sera sa Conscience qui l’aidera à comprendre la vanité de sa quête, à ouvrir les yeux sur la nature humaine et l’accepter telle quelle sans amertume. Oscar/José nous invite à continuer à penser le monde sans désillusion et avec optimisme. C’est ce qui me bouleverse et m’enchante à la fois. « La Démocratie de la peur » est une pièce antireligieuse, anticapitaliste, anti-bêtise, profondément humaine et finalement esthétique. Le décor, les costumes, les lumières, les effets et le jeu des comédiens sont un véritable régal pour les spectateurs. Merci à Oscar et toute la troupe ! Sylvie Bringant, professeur d’espagnol, Paris 12ème

Pièce écrite et mise en scène par Oscar Castro – Musique Jean-Jacques Lemêtre
Chorégraphie Sylvie Miqueu – Scénographie Bénédicte d’Albas
Lumières et Vidéos Samuel Lardillier et Oscarito Castro – Costumes Corine Jouvin
Son Natacha Moyersoen et Jules Archinova – Conception des oiseaux Catherine Sorba

Avec Oscar Castro, Tom Courrèges, Ethan Creuzevault, Elisabeth De Andreis,
Hiba Elkheloui, François Essindi, Catherine Max Martineau, Oualid Meddah, Sylvie Miqueu,
Meriele Miranda, Natacha Moyersoen, Thibaud Sobel, Catherine Sorba.

TARIFS – TP : 15 € / TR (Ivryiens) : 12€ / TR (chômeurs, étudiants) : 10 € / Gratuit les – de 14 ans